Circé

Présentation Personnelle

Qui êtes vous ? Officiellement, Aphro-sama pour me servir. Officieusement, je me nomme Aurore bien que je préfère Roro, 19 ans, actuellement en seconde année de lettres modernes sur La Rochelle. Je suppose que cela suffira pour l'instant.

Rôle choisi :Circé.

Comment avez vous connus le forum ? Partenariat avec SSH.

Divers : Chuck Norris est un vieil ancêtre.


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Présentation du Personnage

Nom/prénom : Circé.

Description Physique :
La mielleuse illusion n'est plus que factice rengaine alors que vos oeillades louvoient les galbes finement sculptés de la Dame. Un corps dont l'enchantement se distille à chacun de ses pores, des hanches étroites qui tanguent avec fièvre en une chaloupe aliénante. Déjà le philtre joue sur vos sens embués du sortilège que ses lèvres charnues éperdent en fugaces euphonies.
L'Alcine se perche avec élégance sur de longues jambes à la courbe aquiline et foulent l’herbe émeraude ses pieds d’albâtre à la finesse ingénue. Son visage usurpe la pureté des statues antiques, sous les traits poupins et ineffables fourmillent les schèmes inavoués de la Dame aux doigts de fée. Sur ses épaules dénudées s’entrelacent les filins prunes de sa chevelure, cascade moirées aux boucles dansant avec jeu dans le creux de ses reins. Une peau de pèche satine les pommettes de son minois, un nez noble s’esquisse avec insolence tandis que la pulpe incarnate de ses lippes s’ourlent d’un rictus affable. Ses yeux de saphir scintillent d’un orgueil inaltérable que le carillon de sa voix cristalline ouate de mille douceurs.
Une orchidée aux tièdes couleurs estivales orne sa tempe et de futiles bimbeloteries bruissent à ses poignées laiteux. Ses courbes enfin se nippent avec saveur de volants rubiconds s’accordant avec harmonie au blason de cette Dame.

Description Morale :
Une vive intelligence brasille sous les lignes mielleuses de la Dame aux enchantements. Un esprit matois oeuvre sous la litanie de ses soupirs, si bien que quiconque cerne ses schèmes ne saurait être assez fou pour lui accorder sa confiance. Le trépas n'a guère altéré la rancune dont elle sait faire preuve lorsque le malheureux ose trahir les égards qu'elle daigna lui allouer.
D'ailleurs parlons-en de sa bénignité... Nul ne saurait réellement attiser la curiosité de notre Dame, la mort si injuste que lui offrit ce pauvre mortel, ne fit qu'accentuer la défiance naturel qui anime si souvent son coeur. De ce fait, peut-être que ceci puisse justifier son caractère des plus lunatique et forcené. Circé demeure avant tout une sorcière enthousiasmée par les abîmes de la géhenne, habile en concoction de philtres et de poisons, ses lèvres désirables louvoient les psaumes à la décrépitude qu'elle s'apprête à lancer sur vous.
Outre ceci, Circé s'avère être une incroyable séductrice, Célimène de jadis à la plastique parfaite et entretenue par ses baumes parfumés et enivrants. L'Autolâtre use savamment de l'obole que la Nature lui offrit à sa création, et peu d'hommes en cette terre peuvent se targuer d'avoir su résister à l'appel de la Sirène, pas même l'ineffable Ulysse. L'Exquise sait cependant gracier les êtres qui selon elle le méritent, alors les dons offerts surpassent toutes les plus folles espérances. Ainsi, tout n'est qu'extrêmes et hyperboles en cette femme des plus versatiles, rien n'est euphémisme et la passion guide ses foulées chaloupées avec jeu. L'unique conviction qui demeurera infaillible n'est autre que sa loyauté envers Alexandre le Grand, il lui redonnera une seconde chance et pour se faire, elle lui restera fidèle.

Histoire de votre perso :

La Douceâtre enfant naquit sous l'oeillade attendrie du Soleil juvénile et de l'allégorie des ondes miroitantes et pures de l'eau cristalline des mers égéennes. Bambine de Persé, l'Océanide et de Hélios, l'Astre flavescent, Circé vit le vermeil de ses flancs s'ébattre sous l'onction de l'ambroisie, Déesse et Sorcière, l'enfant née sous deux étoiles. Déjà les augures frémissent et chuchotent les prémices à la décadence de notre fillette des Cieux. La Beauté vénère l'engeance d'Hélios car l'Alcine a pour soeur la belle Pasiphaé et pour frère, le fat Eétès.
L’Exquise enfant vit croître les dons de la nature en ses flancs éburnés et ingénus, à sa voix répondaient les scintillantes astéries en leur linceul nocturne pour qu’elles s’échouent sur la terre en une corolle argentine. Ses matoises menottes confectionnaient avec saveur philtres et potions, élixirs de jouvences et poisons délétères, effrayée par tant de virtuosité, elle s’en infatua bien vite. Les hommes déplaisants à ses oeillades cérulées voyaient leurs membres usurper la forme de créatures animales selon les caprices de la Donzelle.
Choyées des bienfaits d’Hécate, la douce enfant s’épanouit parmi l’Humanité, loin des Cieux où le Soleil flambait aux côtés de son aimée. Bien vite, la décadence humaine fit larmoyer ses prunelles de saphir et rien ne valait à ses yeux sinon l’avènement de la pureté en cette terre souillée. Aveuglée par cette factice munificence, la Jouvencelle s’adonnait à son labeur de fée pour enfin s’édifier comme Magicienne avant de paraître aux yeux de tous telle une Sorcière aux pouvoirs terribles et extraordinaires. Les poisons oeuvraient sur les êtres indignes de sa générosité, testant ses charmes sur les hommes qu’elle assassinait sans scrupules, persuadée de laver la terre de leur odieuse turpitude. Cette rengaine perdura jusqu’au jour où la Jouvencelle devenue Dame, s’éprit du Roi des Sarmates qui l’épousa aveuglée par l’auguste vénusté de ses traits.

Affublée d’une existence d’opulence, la Douce Péliade animée de cruauté en vint à laisser son époux s’abreuver au calice de son trépas. Mêlant maléfices et poisons, le Roi expira, laissant à son épouse un peuple coléreux qu’elle dut fuir grâce au Char du Soleil. Circé se retira vers une terre lointaine de la Grèce, là où elle pourrait s’ébattre en une existence paisible, toute à sa sorcellerie. Un somptueux Palais façonné de marbre, d’or et de lambrequins de velours, offrit à la Sorcière un asile des plus sûrs. Là, la Dame tissait de riches étoffes accompagnées et protégées par des fauves, jadis hommes qu’elle métamorphosa par caprices après qu’ils se soient jetés d’ivresse entre ses bras d’ivoire.

De nombreuses victimes s’ajoutèrent à la sombre liste qu’elle noircissait de ses jettaturas. La belle Scylla et le roi Picus furent parmi les infortunés de la Belle, le plus célèbre restant Ulysse à l’intelligence vive. Lui et ses compagnons débarquèrent sur l’île d’Ééa, et la Sorcière usa de ses charmes pour les piéger afin de leur allouer la nonchalance des pourceaux. Ulysse guidé par le facétieux Hermès déjoua le maléfice mais ne pu résister à la beauté irradiante de la Sorcière et resta sur île toute une année durant. La Dame s’éprit du Héro, et finit par accéder à sa requêter de retrouver son Ithaque bien-aimée, là où Pénélope et Télémaque se languissaient de son image. Elle lui offrit ses conseils, consulter l’ombre de Tirésias en Enfers afin les mille dangers qui l’attendaient et Ulysse reprit enfin sa route, laissant à son amante huit enfants dont Télégonos. Le Bambin partit à son tour pour Ithaque afin que son père le reconnaisse comme son fils, après avoir apprit de sa mère les arts de la magie. Une prophétie s’orchestra alors : Ulysse mourrait par la mer et par la main de son fils... Télégonos s’empara des troupeaux du Souverain, fut pris pour un vil pirate et lors de la joute, il asséna à son père un coup mortel grâce à une lance faite de dards de raie. L’Oracle fut ainsi accompli, mais amères furent les larmes du fils sur la dépouille de son père. Télégonos ramena le corps du Héro à la Sorcière qui lui rendit le plus fervent des hommages sépulcraux avant que ce premier ne retourne à Ithaque afin d’épouser Pénélope. Télémaque s’éprit de Cassiphoné, bambine des amants de jadis, qu’il épousa après avoir assouvi sa vengeance sur la femme impie qui lui déroba son père. Refusée à l’immortalité due aux Dieux, la Sorcière expira sur le marbre de son faste palais, cruelle finitude pour une femme aussi passionnée qu’elle le fut durant toute son existence.

Mais les Moires ne coupèrent point le fil de la Vie et la Sorcière s’extirpa des ombrines et de la fange de l’Enfer pour de nouveau valser sur les flancs maternels de Gaia. Elle s’érige parmi les Antiques Héros de jadis, fidèle à l’Empereur Alexandre qu’elle sert désormais, lui offrant ses arts et ses élixirs de péliade.

Autres : Caryatide des Moires comme rang si possible.

Aphro Sama !

S'agenouille

Welcomme et bonne chance, bien que je doute que tu en ai réellement besoin, le naturel est plus fort !

Pointe Seiya du doigt

Tu m'en voit désolé, mais je me refuse a paraitre avec l'autel de prière devant ... Cette...Enfin ce....Goujat ! En plus j'ai un rang divin a tenir ici !

Seiya : un mot de trop avec Aphro Sama, et je t'envoie rejoindre Camus et les autres...

Salut Circé!

Bon, voilà, à mon tour, je te souhaite la bienvenue parmi nous en espérant que tu t'amuseras bien
Sinon, en ce qui concerne ta fiche, il n'y a pas de problèmes pour moi donc, c'est avec plaisir que je viens te valider, en espérant que tu resteras longuement à nos côtés

Bon jeu à toi.

PS : Message pour Seiya, si tu pouvais éviter de flooder sur chaque présentation. Je te remercie.

Vous avez ses remerciement, etant en bataille avec France Telecom pour avoir le net sur La Rochelle, elle ne peut le faire elle même pour l'instant. Elle n'est donc présente que le Week End.