Cyrène.

Coucou c'est moi^^ Waaa quelle intro^^
Pour tout vous dire je pense que certains d'entre vous me connaissent sous le merveilleux, pseudonyme d'Eris, au vu des noms que je lis ici... Myst et divers Marinas lol
C'est mon ami Dieu (Yanou pour les initiés) qui ma parlé de ce fofo^^

Sinon ben moi je voudrais prendre mon autre perso Cyrène De Gamma vu qu'Eris est indisponible snifff...

Au fait comme c'est le même perso j'ai repris sa véritable histoire que j'avais faîte pour un autre fofo et ce qui est bien c'est que ça correspond au BG lol Cette présentation à moins d'un moi donc elle est à peu pret fidèle à mon niveau actuel...
Histoire, description physique et psychologique sont dans mon post, c'est plus rigolo de faire comme ça^^

Bonne lecture^^

[Je commence sur un autre post pour plus de simplicité^^]



La petite mère de Cyrène referma le livre qui se trouvait devant sa fille. Elle lui souriait, sa fille avait encore prit un livre qu’elle ne devrait pas. Comment lui faire comprendre qu’à son âge on ne lisait pas de livres de batailles. Poussant un soupir à fendre l’âme, la mère prit le livre en ses mains et rajusta la couverture sur sa fille, tout en lui souhaitant une bonne nuit. Avant de refermer la porte, son regard attendrit par l’amour, se posa une dernière fois sur sa fille. Si jeune, si adorable avec ses longs cheveux noirs, son visage infantile lui donnait un air d’innocence constante. La petite fille observait sa mère, il était tard, elle aurait bien aimé continuée à lire le livre, mais bon elle connaissait déjà par cœur les arguments de sa mère, il était pratiquement impossible de discuter de ce sujet avec elle. Elle lui rendit son sourire et ferma les yeux, dès lors sa mère n’était plus la.
Quelques instants plus tard, la petite mère s’installa confortablement dans un fauteuil de cuir noir. Elle laissait son temps s’évaporer ainsi, sans rien faire, l’esprit soulagé du poids d’être mère. Ce n’est pas que Cyrène était une fillette désagréable elle était juste un peu trop curieuse et employait son énergie à se fourrer entre les mains ce qu’elle ne devrait pas. Enfin c’était terminé maintenant la fillette allait dormir un peu…



La petite mère après ces quelques lignes posa doucement sa plume, la nuit était bien avancée maintenant… Dormir un peu lui ferrait le plus grand bien, demain allait être une longue journée. Encore le même rêve : sa fille adulte, portant une bien étrange armure se battant au sein d’un sanctuaire inconnu. Ce n’était pas celui de sa déesse…
La nuit s’était terminée tranquillement pour la fillette, elle descendit les escaliers à pas de loup et constata la présence de sa mère dans son fauteuil préféré, elle avait encore du écrire tard dans la nuit. Avec amour Cyrène lui retira son carnet des mains pour le poser sur la table pas trop éloignée. Ce matin elle allait pouvoir servir Athéna avec sa mère, elle en était ravie, pouvoir approcher la statue de la déesse qu’elle aimait était quelque chose de merveilleux pour elle. Ses parents avaient servis Athéna avant elle en tant que chevaliers, ils s’étaient retirés de la chevalerie pour élever leur fille loin des combats, des guerres et des atrocités divines.
Lorsqu’elle ouvrit la porte la petite fille observa calmement le puissant sanctuaire d’Athéna trôner devant elle. Les quartiers des serviteurs étaient bien agités en ce jour, la traditionnelle fête de l’olivier allait se dérouler encore une fois dans la joie et la bonne humeur.
Souriante, Cyrène s’était retournée vers sa mère pour la réveiller.

-"Allez maman réveille toi, on doit aller voir papa et puis après revenir ici pour aider à préparer la fête pour Athéna. C’est une longue journée tu sais." Dit-elle

-Humm, Cyrène sois gentille laisse moi dormir encore un peu… Répondit la mère encore assommée par Morphée. Il est tôt tu sais… Tu devrais préparer le petit déjeuner en attendant. Puis elle referma lentement les yeux.

-"Si tu n’écrivais pas si tard tu seras déjà debout. Bougonna la jeune fille. Bon d’accord je vais préparer le petit déjeuner."

N’obtenant aucune réponse elle se mit à l’ouvrage, ouvrant tour à tour les pots de confiture, et sortant d’une armoire une belle brioche que sa mère avait acheté quelques jours auparavant. Cela lui prit pas mal de temps, elle n’était pas vraiment experte pour trancher la brioche et faire des tartines, mais elle était beaucoup plus douée quand il s’agissait de les manger. Les petites filles étaient toutes gourmandes après tout. Après quelques instants sa mère l’avait rejoins, une profonde fatigue se lisait sur son visage, malgré cela elle souriait à sa fille et mordit une tartine à pleines dents.

Enfin elles étaient arrivées toutes deux devant l’entrée du cimetière des chevaliers, Cyrène portait un bouquet qu’elle avait confectionné avec les fleurs qu’elle avait trouvé le long du chemin. Le silence était de guise en ce lieu étrange portant en son sein ; les dépouilles des plus vaillants chevaliers de la déesse, tous morts en la protégeant, tous mort pour l’avenir de l’humanité. Un avenir qu’ils ne verraient jamais. Il fallut peu de temps à Cyrène pour se déplacer vers la tombe de son père. Il était mort au combat pour protéger sa famille lors d’un assaut ennemi sur le sanctuaire, le manque de pratique avait eu raison de lui. Depuis ce jour la petite fille avait remarqué que la tristesse de sa mère s’alourdissait. Oh elle s’occupait bien de sa fille mais les romans qu’elle écrivait reflétaient cette atroce souffrance la petite fille le voyait bien.
Lentement elle se mit sur la pointe de ses pieds pour essuyer les larmes qui coulaient le long des joues de sa mère. Cyrène posa son bouquet ainsi qu’une lettre sur la tombe de son père, et s’en alla pour laisser sa mère seule avec son ancien époux.
La petite fille n’espionnait pas sa mère pour une fois elle marchait au travers des tombes replaçant parfois certaines fleurs tombées au sol, certainement à cause du vent. Comment aurait été sa vie si son père était encore en vie ? Cette question elle ne se la posait que trop souvent. Enfin la déesse avait rappelé auprès d’elle son serviteur, ce dernier devait certainement passer de bon moments aux cotés de ses anciens frères d’armes.
Elle attendit patiemment sa mère qui survint que peu de temps après elle. Cyrène fit mine de ne pas remarquer les yeux rouges qu’avait sa mère… Tristesse et chagrin toujours présents…

Le reste de la matiné s’était dans l’ensemble bien passé. Cyrène riait beaucoup avec les autres enfants, la fête se déroulait bien. Athéna n’était certes pas présente mais son amour lui était la, elle protégeait ses enfants. Même les chevaliers d’or présents s’étaient joints à la fête. Congratulant parfois la foule de quelques illusions bien choisies. A chaque fois la petite fille était admirative de ces hommes et femmes aux immenses pouvoirs. Oui la fête, pour la petite fille était réussie.
Sérénade, car c’est ainsi que s’appelait la mère de Cyrène était plongée dans une longue discussion avec la représentante des servantes de la déesse Athéna, une de ses plus anciennes amitiés. Une discussion mouvementée…

-"Et pourquoi je devrais partir soigner la grande prêtresse d’Odin ? Il n’a qu’à le faire lui-même." Lança amèrement Sérénade.

-"Odin et les autres Dieux nordiques ne doivent pas être sur terre actuellement, sinon les représentants d’Asgard ne serraient jamais venus nous demander notre aide, l’alliance qui existe entre nos deux camps exige qu’on leur prête main forte en toutes circonstances, le grand pope à déjà validé ton ordre de mission…" Répondit son interlocutrice.

-Il existe d’autres guérisseurs, j’ai prit ma retraite de chevalier… Et je ne peux laisser ma fille seule ici, trouvez quelqu’un d’autres… Sérénade commençait à partir lorsque la main de son amie se posa sur son épaule.

-"La maladie de la grande prêtresse d’Odin requiert un guérisseur de haut niveau… Tu es la seule qui puisse le faire… Tu portais l’armure d’or du Scorpion, tes techniques étaient basées sur les poisons et les soins, tu devrais réussir la ou les autres ont échoués… Tu pourrais emmener Cyrène avec toi. Je sais que depuis la mort de ton époux tu ne crois plus, mais tu as donné ta vie à ce sanctuaire, une dernière mission, après tu pourras vivre pour ta fille et tes romans."

La discussion prit fin, sans aucunes réponses de la petite mère. Rien d’autre qu’un vague sourire, et puis son honneur ne lui laissait pas trop le choix, elle avait juré une fidélité sans borne à Athéna et à son sanctuaire. Elle devait donc se rendre à Asgard pour soigner leur alliée. Après quelques temps de réflexion elle rejoignit sa fille pour terminer la fête sans laisser voir un quelconque souci.

Sérénade déposa sur le sol son carnet, voila deux semaines qu’ils étaient partis elle, sa fille et deux chevaliers pour garantir leur sécurité. Jusqu'à Asgard, ils ne se déplaçaient pratiquement qu’à pieds. Pourtant Cyrène ne semblait pas fatiguée par le voyage. Sérénade ne se souvenait pas avoir vue sa fille rechigner une seule fois. Et puis pour passer le temps elle lui enseignait des cours théoriques sr la maîtrise du cosmos. Les autres chevaliers écoutaient cela attentivement, ils connaissaient tout cela évidement, mais l’ancienne porteuse de l’armure du Scorpion enseignait et présentait les choses bien plus loin qu’à l’habitude.
Cyrène présentait de bonnes capacités pour la future maîtrise des arts de la chevalerie. Souvent ses réponses et ses petites démonstrations étaient couronnées de succès. Le voyage jusqu'à Asgard ne fut plus particulièrement long, pour la petite, le temps passait vite lorsqu’on apprenait.

Lorsqu’ils arrivèrent à Asgard les deux chevaliers prirent congés de Sérénade et de sa fille pour rentrer au sanctuaire. Une délégation de serviteurs d’Odin étaient venus à leur rencontre, on leur attribua une vaste chambre au temple d’Odin le temps pour la petite mère de soigner la grande prêtresse d’Odin dont l’état ne cessait de s’aggraver. Le plus important était qu’elles étaient arrivées dans les temps.
Cyrène ne parlait plus très souvent à sa mère, depuis qu’elles étaient arrivées sa mère passait le plus clair de son temps au chevet de la grande prêtresse. Lui prodiguant toutes sortes de soins. C’est au bout de quelques semaines de soins intensifs qu’elle pouvait enfin déclarer la grande prêtresse hors de danger.
Charmées par le paysage glacé qui s’offrait chaque matin aux deux grecques. Elles décidèrent de prolonger leur séjour en Asgard. Elles firent l’acquisition d’une petite maison pas trop éloignée du temple. Cyrène était aux petits soins pour sa mère dont l’état de santé l’inquiétait de plus en plus, elle travaillait beaucoup et usait souvent de son cosmos. De plus elle ne voulait abandonner l’écriture de son livre… Elle y écrivait souvent, comme si sa vie en dépendait. Comme si la fièvre l’avait prise.

Un matin comme chaque matin depuis pratiquement un moi Sérénade s’en alla voir l’état de sa patiente, la prêtresse mit assez longtemps à guérir, signe que la maladie qui l’avait frappé se s’était pas complètement évaporée. Elle prit tout de même le temps de lui préparer son infusion.

-"D’ici quelques jours vous pourrez reprendre du service madame." Assura la guérisseuse.

Cyrène quant à elle, traversa rapidement le temple d’Odin qu’elle avait apprit à connaître par cœur. Sa direction : la bibliothèque du temple. Son lieu préféré avec le terrain d’entrainement des chevaliers d’Asgard. Ce matin ci le bibliothécaire lui ouvrit comme par habitude. Il salua la jeune fille, qui lui rendit un sourire, et s’en alla vers le rayon des mythes anciens. Elle aimait à lire les mythes d’amour, lorsqu’elle voulu prendre le livre des légendes de Signy et Sigurd, sa main se posa sur un petit parchemin. Curieuse elle se saisit du document dont le tire était : « La Création ». « Drôle de titre » pensa-t-elle, toujours poussée par la curiosité elle commençait à lire.

Dans l’ancienne Edda, une Femme Sage dit ceci :

Autrefois, il n’y avait rien,
Ni sable, ni mer, ni vagues froides.
Ni terre, ni ciel non plus.
Seul existait l’abîme béant.
Le soleil ne connaissait pas sa demeure
Et la lune ignorait son royaume.
Les étoiles n’avaient pas trouvé leur place.

Mais pour vertigineux qu’il fût, l’abîme avait des limites. Tout au nord se trouvait Nifheim, l’empire glacé des morts, et bien loin au sud se situait Muspelheim, le pays du feu. De Niflheim, douze rivières déversaient leurs eaux dans l’abîme ; là, elles se gelaient et lentement le remplissait de glace. De Muspelheim venaient des nuages brûlants qui transformaient la glace en brouillards. Des gouttes d’eau tombaient de ce brouillard et de ces gouttes naquirent les filles du gel et Ymir, le premier Géant. Son fils fut le père d’Odin, dont la mère et la femme étaient filles du Gel.
Odin et ses deux frères tuèrent Ymir. Ils firent de lui le ciel et la terre : la mer de son sang, la terre de son corps, les cieux de son crâne. A Muspelheim, ils prirent des étincelles et les placèrent dans le ciel où elles devinrent le soleil, la lune et les étoiles. La terre était ronde et encerclée par la mer. Un grand mur bâti par les dieux avec les sourcils d’Ymir défendait le lieu où l’humanité allait vivre. L’espace intérieur se nommait Midgard. Ici le premier homme et la première femme furent créés à l’aide d’arbres, un frêne pour l’homme, un bouleau pour la femme. Ils furent les parents de toute l’humanité. Il y avait encore, dans le monde, des Nains : créatures fort laides mais remarquablement adroites, qui vivaient sous la terre. Il y avait aussi des Elfes : lutins ravissants qui prenaient soin des fleurs et des ruisseaux.
Un frêne merveilleux, Yggdrasil, servait de support à l’univers. Il implantait ses racines à travers les mondes :

Yggdrasil a trois racines
Hel demeure sous la première,
Sous la seconde vivent les Géants du Gel
Et les hommes sous la troisième.

Il était dit aussi que l’une des racines montait jusqu'à Asgard et à coté de celle-là se trouvait un puits d’eau blanche, le puits d’Urda, tellement sacré que nul ne pouvait en boire. Les trois Nornes le gardaient, qui

Attribuent leur vie aux fils des hommes
Et assignent à chacun sa destinée.

C’étaient : Urda (le passé), Verdandi (le présent), et Skuld (l’avenir). Ici, chaque jour venaient les dieux : ils passaient sur le pont frémissant fait de l’arc-en-ciel, ils s’asseyaient à coté du puits et jugeaient les actions des hommes. Un autre puits situé sous une autre racine, était le puits de la Connaissance gardé par Mimir le Sage. Tout comme sur Asgard, sur Yggdrasil planait aussi la menace de destruction. Comme les dieux, il était destiné à mourir. Un serpent et sa nichée rongeaient la racine voisine de Niflheim, le royaume de Hel. Un jour, ils parviendraient à tuer l’arbre et le monde s’écroulerait.
Les Géants du Gel et les Géants de la Montagne, qui vivaient dans le Jötunheim, étaient les adversaires de tout bien. Ils étaient les puissances brutales de la terre et dans l’inévitable conflit qui les opposait aux pouvoirs divins du ciel, la force brutale sortirait victorieuse.

Les dieux sont condamnés et la mort est la fin.

Mais une telle croyance est contraire à cette conviction profonde de l’esprit humain, qui veut que le bien soit plus puissant que le mal. Même ces Nordiques austères et désespérés, dont la vie quotidienne tout au long des sombres hivers de leur pays glacé n’est qu’un héroïque et perpétuel défi, même ceux-là entrevoyaient une lueur lointaine dans leurs Ténèbres. On trouve dans l’Ancienne Edda, une prophétie annonçant qu’après la défaite des dieux, quand

Le soleil deviendra noir et que la terre sombrera dans la mer,
Quand les étoiles tomberont du ciel
Et que le feu montera jusqu’au firmament,
Il y aurait alors un nouveau ciel et une nouvelle terre,
Une fois encore d’une beauté merveilleuse ;
Les maisons auront des toits d’or ;
Sans que les champs soient semés, leurs fruits mûriront
A jamais, dans une félicité parfaite.

Ceci se passerait sous le règne de Celui qui serait plus grand qu’Odin lui-même et au-delà de la portée du mal de celui qui serait

Plus puissant que tout
Mais jamais je n’oserais prononcer son nom
Et rares sont ceux qui peuvent voir au-delà
Du moment où Odin succombera.

Cette vision d’un bonheur infiniment lointain semble un mince réconfort contre le désespoir, mais c’était la seule espérance que les Eddas avaient à offrir.

Cyrène, doucement, reposa le parchemin sur l’étagère ou elle l’avait trouvée. La petite fille se trouvait être troublée par les prédictions et les légendes de ce document. Ainsi chaque peuple avait son histoire de la création, histoires contrées par les scientifiques.

-"Je n’ais jamais beaucoup aimé cette prédiction…" Dit une voix dans le dos de la petite fille.

Sursautant Cyrène se retourna tremblante de peur ; cette même peur s’évanouit aussitôt lorsqu’elle vit un vieillard à l’air aimable et à la longue barbe blanche. Le vieillard lui souriait, il ne portait qu’une simple robe blanche, mais sa présence apporta calme et réconfort à la petite fille.

-"Tu dois être Cyrène n’est-ce pas ?"

-"Oui monsieur, c’est moi. Mais pourquoi cette question ?" Demanda-t-elle l’air suspicieux.

-"Eh bien, parce qu’Odin voudrait t’accorder deux souhaits en récompense des efforts fournis par ta mère lors de la guérison de la grande prêtresse." Déclara-t-il pour seule explication.

-"Ah mais c’est à maman qu’il faut dire ça pas à moi j’ai juste accompagné maman parce que je suis trop petite pour rester toute seule au sanctuaire d’Athéna."

-"Je sais, je sais, mais les souhaits doivent être conçus par ceux qui croient. Or il semblerait que ta mère ne croit plus vraiment."

-"Croire en quoi monsieur ? Excusez moi je ne comprends pas grand-chose à ce que vous dîtes, désolée…"

-"Ce n’est pas grave mon enfant, tu n’as pas besoin de comprendre juste de prononcer deux vœux. Allez fais vite sinon je vais me faire gronder."

La pensée de voir un vieux monsieur avec une grande barbe blanche se faire gronder amusa beaucoup la jeune demoiselle. Elle ne chercha plus vraiment à comprendre ce qu’il voulait dire par croire Après tout les vieux messieurs étaient toujours un peu mystérieux. Alors ces deux vœux ? Le premier elle l’avait déjà choisi il serait pour sa mère… Elle voulait tellement qu’elle puisse être à nouveau heureuse comme lorsque son père était encore en vie, mais il était égoïste de demander cela, peut-on réellement forcer les êtres à être heureux malgré eux ? Son choix pour sa mère serait donc différent…

-"Vous savez, maman n’est pas très vieille, mais depuis la mort de papa elle est malade. Sa santé est devenue fragile, et je l’ais déjà entendu dire devant la tombe de papa qu’ils seraient bientôt à nouveau ensemble. Je voudrais bien garder ma maman encore longtemps mais elle aime beaucoup papa…Si vous connaissez vraiment Odin alors dîtes lui d’accorder à maman le temps de finir son livre. Comme ça elle pourra le faire lire à papa quand elle partira."

Le vieil homme essuya calmement les quelques larmes de la jeune fille. Il devina sans trop de difficulté la souffrance qu’une telle chose incombait pour une petite fille. Il prit note du premier vœu et laissa Cyrène prendre le temps de réfléchir à son second vœu.

-"Si Odin fait cela pour ma maman, je crois que je voudrais entrer dans l’entrainement de ses chevaliers. Avec ce que ma apprit ma maman sur le cosmos, je servirais Odin pour le remercier. Voila mon second souhait."

-"Très bien jeune fille, je lui transmettrais tout cela directement. Oh j’allais oublier, tiens prends ça c’est de la part d’Odin." Et le vieil homme à barbe blanche lui tendit un assez gros morceau de chocolat.

Cyrène lui répondit d’un gracieux sourire en enfournant entre ses lèvres un beau carré de chocolat. Se demandant si un jour elle allait revoir cet étrange personnage.

Les années passèrent Cyrène était une jeune femme à présent, sa mère n’était plus, et comme voulue elle eue le temps de terminer son livre, elle était partie, après avoir apposé le point final de l’ouvrage.
Odin avait tenu parole.
Cyrène était alors entrée dans le camp d’entrainement des Guerriers d’Odin, reniant ainsi son service auprès d’Athéna, elle s’entrainement durement, et avait obtenu un bon niveau.
Cyrène avait tenu parole.
Elle gardait le livre, mais ne l’avait jamais lu… Son bien le plus précieux, peut-être un jour elle connaitra ce que la plume de sa mère avait réservé au jeune chevalier et la jeune femme évanouie.

[Voila j'espère que mon petit rp plait, je n'ais pas voulu le faire trop long ni faire une histoire de barbares qui se tappent dessus lol]

J'ai qu'une chose à dire: RESPECT !


Je sens que je vais aller chez Asgard moi...

Seiya a écrit:

J'ai qu'une chose à dire: RESPECT !


Je sens que je vais aller chez Asgard moi...

Ce n'est que du rp mais merci^^

Bienvenue sur LS et bon amusement!

Est ce la Eris à qui je pense????

Bienvenue !

Bienvenue^^

Hadès était une fille???

Oui je pense Iryké^^
Merci à vous pour cet acceuil

J'y comprends plus rien

Y a rien à comprendre avec Pallas c'est pour ça qu'on l'aime Hein ma petite bourrine

Je cherche plus à comprendre alors lol

Ah oki^^ Merci pour cette explication^^

Oki ben j'attendrais alors

Yop, sympa le mélange des descriptions, mais le post un peu long, c'est un peu chiant quand y a trop à lire et encore trois présentations a regarder derrière ^^ Mais pour moi c'est Ok

Ps: Myst tu peux aussi valider les membres tu es admin ^^

J'aime les posts longs je n'y peux rien^^

Merci à vous

Cyrène a écrit:

J'aime les posts longs je n'y peux rien^^

C'est toujours mieux que trop cour

C'est certain^^